vendredi, 14 juillet 2017
Signes
Antonin Artaud (1896-1948), Portrait de Jany de Ruy (juillet 1947),
au Centre Pompidou, à Paris I,
photographie : octobre 2016.
06:41 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard, Traces | Tags : frédéric tison, photographie, antonin artaud, portrait de jany de ruy | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
jeudi, 13 juillet 2017
L'absence vibrante selon deux couleurs
Mark Rothko (1903-1970), [sans titre] [Noir, rouge sur noir sur rouge] (1964),
au Centre Pompidou, à Paris I,
photographie : octobre 2016.
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Dans le cabinet surréaliste
Détail de la reconstitution du bureau d'André Breton (1896-1966)
au 42, rue Fontaine à Paris, où il vécut et travailla de 1922 à 1966,
au Centre Pompidou, à Paris I,
photographie : octobre 2016.
05:18 Écrit par Frédéric Tison dans Autour du livre, Traces | Tags : frédéric tison, photographie, andré breton, bureau d'andré breton | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
mercredi, 12 juillet 2017
Pour un dieu des portes
René Magritte (1898-1967), Acte de foi (1960),
à l'exposition "René Magritte", au Centre Pompidou, à Paris I,
photographie (avec des reflets sur la vitre) : octobre 2016.
06:08 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard | Tags : frédéric tison, photographie, rené magritte, acte de foi | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
mardi, 11 juillet 2017
Le beau titre
René Magritte (1898-1967), Les Regards perdus (1927-1928),
à l'exposition "René Magritte", au Centre Pompidou, à Paris I,
photographie : octobre 2016.
18:08 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard | Tags : frédéric tison, photographie, rené magritte, les regards perdus | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Toujours l'ombre
René Magritte (1898-1967), Le Principe d'incertitude (1944),
à l'exposition "René Magritte", au Centre Pompidou, à Paris I,
photographie : octobre 2016.
06:14 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard | Tags : frédéric tison, photographie, rené magritte, le principe d'incertitude | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
lundi, 10 juillet 2017
L'ombre de l'amant
Jean-Baptiste Regnault (1754-1829), L'Origine de la peinture
ou Dibutade dessinant le portrait de son amant (1785), grand détail,
à l'exposition "René Magritte", au Centre Pompidou, à Paris I,
photographie : octobre 2016.
(Cf. mon étude parue dans le numéro 38 de la revue Les Hommes sans Épaules.)
06:20 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard | Tags : frédéric tison, photographie, jean-baptiste regnault, l'origine de la peinture, dibutade dessinant le portrait de son amant | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
dimanche, 09 juillet 2017
Ô capitale infâme !
Charles Baudelaire (1821-1867), détail du manuscrit autographe de l'"Épilogue" du Spleen de Paris,
à l'exposition "L'Œil de Baudelaire", au musée de la Vie romantique, à Paris IX,
photographie : octobre 2016.
ÉPILOGUE
Le cœur content, je suis monté sur la montagne
D’où l’on peut contempler la ville en son ampleur,
Hôpital, lupanars, purgatoire, enfer, bagne,
Où toute énormité fleurit comme une fleur.
Tu sais bien, ô Satan, patron de ma détresse,
Que je n’allais pas là pour répandre un vain pleur ;
Mais comme un vieux paillard d’une vieille maîtresse,
Je voulais m’enivrer de l’énorme catin
Dont le charme infernal me rajeunit sans cesse.
Que tu dormes encor dans les draps du matin,
Lourde, obscure, enrhumée, ou que tu te pavanes
Dans les voiles du soir passementés d’or fin,
Je t’aime, ô capitale infâme ! Courtisanes
Et bandits, tels souvent vous offrez des plaisirs
Que ne comprennent pas les vulgaires profanes.
06:28 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases, Musée d'un regard, Traces | Tags : frédéric tison, photographie, charles baudelaire, manuscrit, le spleen de paris | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
samedi, 08 juillet 2017
Par Courbet
Gustave Courbet (1819-1877), Portrait de Charles Baudelaire (1848),
à l'exposition "L'Œil de Baudelaire", au musée de la Vie romantique, à Paris IX,
photographie : octobre 2016.
06:10 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard, Visages du poète | Tags : frédéric tison, photographie, charles baudelaire, gustave courbet | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
vendredi, 07 juillet 2017
La féline
Constantin Guys (1802-1892), Portrait présumé de Jeanne Duval (s. d.),
à l'exposition "L'Œil de Baudelaire", au musée de la Vie romantique, à Paris IX,
photographie : octobre 2016.
Une dédicace pour Jeanne Duval.
Un autre portrait de Jeanne Duval.
06:11 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard | Tags : frédéric tison, photographie, jeanne duval, constantin guys, charles baudelaire | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
jeudi, 06 juillet 2017
L'architecture mobile des nuages
Charles Baudelaire (1821-1867), manuscrit autographe du poème en prose "le Port" (1864),
à l'exposition "L'Œil de Baudelaire", au musée de la Vie romantique, à Paris IX,
photographie : octobre 2016.
LE PORT
Un port est un séjour charmant pour une âme fatiguée des luttes de la vie. L’ampleur du ciel, l’architecture mobile des nuages, les colorations changeantes de la mer, le scintillement des phares, sont un prisme merveilleusement propre à amuser les yeux sans jamais les lasser. Les formes élancées des navires, au gréement compliqué, auxquels la houle imprime des oscillations harmonieuses, servent à entretenir dans l’âme le goût du rythme et de la beauté. Et puis, surtout, il y a une sorte de plaisir mystérieux et aristocratique pour celui qui n’a plus ni curiosité ni ambition, à contempler, couché dans le belvédère ou accoudé sur le môle, tous ces mouvements de ceux qui partent et de ceux qui reviennent, de ceux qui ont encore la force de vouloir, le désir de voyager ou de s’enrichir.
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mercredi, 05 juillet 2017
Baudelaire à vingt-trois ans
Émile Deroy (1820-1846), Portrait de Charles Baudelaire (1844),
à l'exposition "L'Œil de Baudelaire", au musée de la Vie romantique, à Paris IX,
photographie : octobre 2016.
05:38 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard, Visages du poète | Tags : frédéric tison, photographie, charles baudelaire, baudelaire, émile deroy | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
mardi, 04 juillet 2017
La douce Nuit qui marche
Charles Baudelaire (1821-1867), manuscrit autographe de "Recueillement" (1861),
à l'exposition "L'Œil de Baudelaire", au musée de la Vie romantique, à Paris IX,
photographie : octobre 2016.
RECUEILLEMENT
Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici :
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix, aux autres le souci.
Pendant que des mortels la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma Douleur, donne-moi la main ; viens par ici,
Loin d'eux. Vois se pencher les défuntes Années,
Sur les balcons du ciel, en robes surannées ;
Surgir du fond des eaux le Regret souriant ;
Le Soleil moribond s'endormir sous une arche,
Et, comme un long linceul traînant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.
05:00 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases, Musée d'un regard, Traces | Tags : frédéric tison, photographie, charles baudelaire, baudelaire, manuscrit, les fleurs du mal | Lien permanent | Commentaires (3) | Facebook |
lundi, 03 juillet 2017
Image du poète
Gaspard Félix Tournachon, dit Nadar (1820-1910), Portrait de Charles Baudelaire (vers 1855),
épreuve sur papier albuminé,
à l'exposition "L'Œil de Baudelaire", au musée de la Vie romantique, à Paris IX,
photographie : octobre 2016.
06:05 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard, Visages du poète | Tags : frédéric tison, photographie, nadar, baudelaire, charles baudelaire | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
dimanche, 02 juillet 2017
Les immenses bois du Passé
Squelette du plus grand cervidé mâle connu (Megaceros giganteus)
(Irlande, Pléistocène supérieur, 125 000 - 11 000 ans av. J.-C.),
dans la Galerie de Paléontologie,
au Jardin des Plantes, à Paris V,
photographie : septembre 2016.
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